LÉpouse, Un Amant : Le Film Du Mari
JF filme parfois (souvent) ce quil voit, et ma suggéré décrire en regardant ensemble une soirée, comme il la vit, jai le droit de le questionner. On va débuter par une scène et voir ce que cela donne. Sourire.
Un panoramique du lieu, les visages souriants, la table, les bulles. Retour sur les visages. Plan de coupe, on reprend alors que la soirée est entrée dans les prémices. Je danse dans les bras de lamant. La caméra remonte mes jambes qui croisent celles de mon danseur, les corps serrés, ses mains sur mes hanches. La scène suivante, je suis nue, entièrement, vêtements éparpillés au sol, toujours dans les bras du danseur qui embrasse ma poitrine et écrase mes reins pour que nos sexes se joignent. Gros plan sur mon visage rougi, yeux clos, sourire de contentement aux lèvres. On mentend gémir. Puis la caméra descend en même temps que lamant qui vient poser sa bouche sur mon pubis, ses mains sur mes fesses. Un court plan sur le sexe raide de lamant.
Je demande : « Ca te plait de le voir bander ou tu aimes les sexes dhommes ? » Il rit « non, cest de voir son désir qui mexcite, comprendre son envie pour toi ».
Le film continue alors que je suis allongée nue devant le tercero. Il détaille mon corps, sourit, me regarde, puis se tourne vers la caméra, il fait le tour du lit sans pudeur, sans un mot, étendard brandi. JF filme mon visage alors que moi aussi je fais le tour visuel de celui qui va me faire lamour, un sourire et un haussement dépaule coquinement pervers au cameraman.
La suite montre à lévidence que les deux « acteurs » se concentrent sur le jeu des plaisirs à échanger, la caméra, ils loublient. (Mais je noublie pas le cameraman). Attention à partir de ce moment le film devient très érotique et même pornographique, sauf pour nous trois. « Dis-moi, tu bandes toi aussi à ce moment ? » Il ne répond pas autrement quen posant ma main sur son pantalon.
JF filme en plan large. Il mexplique : « jaime voir tes réactions, voir tes tressaillements, tes seins se tendre, tes mains crispées sur les draps, ou sur les épaules, ou sur les fesses de ton amant, tes ongles dans sa peau.
On regarde ensemble, émus, JF commente toujours « Tes cuisses souvrent, Ton bassin se tend vers le pénis raide qui rentre en toi. Tu fermes tes jambes sur ses reins et ton corps accompagne le mouvement qui vous unit. Tes mains caressent du bout des doigts, son dos, ses fesses, pour lencourager et lui faire savoir le plaisir quil te donne. Ton visage convulsé, rouge, ta bouche ouverte, tes cheveux éparpillés. Tu es divinement désirable. Il se redresse et se regarde rentrer en toi. Et là, toi aussi tu veux voir, attirée par le membre que tu veux sentir coulisser, voir son sexe pénétrer le tien, ta mouille qui vous lubrifie. ». Un temps, un silence. On a chaud.
« Ces moments sont parmi les plus excitant, ceux que je veux vivre de toi ». Jajoute « Cela mexcite aussi que tu me regardes que tu regardes mon sexe ouvert par le pénis tout raide » Nous avalons notre salive comme si nous revivions cet instant.
Chaque plan évoque une scène précise du mâle attentif au plaisir quil donne et doù nait celui du mari. JF veut saisir ce plaisir, simprégner de linexplicable, voir sa femme semballer, tout oublier, concentrée sur son corps et celui de son amant. Les deux peaux collées échangent, partagent et ressentent le plaisir de lautre. Cela se voit aux réactions simultanées et échangées. Un coup de rein du mâle et la femelle que je suis sélectrise. Mon sexe soffre à celui de lhomme, il se dresse sur moi et son visage grimace. Faire lamour, nous y sommes.
Je demande : « Pas de jalousie à ce moment ? » JF me répond « Jaloux ? Pourquoi ? Tu maimes non ? Le plaisir cest avec mon accord que tu le reçois ? » A mon tour « Cétait juste pour te taquiner je taime et cest toute mon excitation de savoir que je jouis et que tu me regardes.
Retour au film qui continue alors que mon amant me prend en levrette. Le visage dans les draps, je tends ma croupe, ma fente ouverte et brillante, au membre tendu, luisant de lamant que JF filme avec délectation. Les muscles du ventre bandés, tout comme son sexe gonflé, les mains fermes maintiennent mes hanches vigoureusement. Son visage rouge denvie de me prendre. Ce gros plan une sorte dobsession sur le mystère du plaisir. Je lui dis « Tu imagines être en moi ? » et JF de me répondre : « non, je sais que cest un autre qui te le donne mais je sais aussi que ton plaisir tu le partages avec moi. »
Jai parlé trop vite, le plan suivant cest mon visage, yeux rivés à la caméra ou plus précisément au fond du regard de mon mari, spectateur de ma jouissance imminente.
Il filme sa femme entrain de jouir dun homme qui la bourre avec fougue. Rien ne peut interrompre cette furie de plaisirs échangés. Mon mari est en extase de mon plaisir. On voit ma main agrippée au matelas, les doigts fermés convulsivement sur le drap en boulle, yeux fermés, lèvres pincées. Mon visage senfonce en cadences répétées dans le lit au rythme des coups qui me défoncent, on entend le bruit sourd du ventre de lamant contre le mien, ses couilles qui battent mon sexe. On entend mes gémissements retenus, étouffés, puis soudain sonores, criés. Plan de face, mes hanches aux mains du baiseur, sa queue entre et sort encore et encore, chaque fois plus brutalement pour me défoncer, visage rouge et grimaçant. Comme le cameraman, il fixe lentrée de mon sexe où son membre senfonce dans mon trou, lèvres ouvertes écartées. Des traces blanches sur la queue mouillée par mes effluves et déjà un peu de sperme échappé. JF intervient, « Tu es divine ! Jadore ce moment, ta beauté, ton plaisir intense, je suis fou de te voir, de tentendre ». De dos cette fois, gros plan sur la queue qui ouvre mon sexe, mes cuisses écartées par celles de lamant, une main retournée de lamant sur mon clito.
Echange de sourires à mon amant dun côté et à mon mari de lautre.
La suite non filmée, pouvez vous comprendre quon ait envie à cet instant lun et lautre de se mélanger. Mon sexe élargi, dilaté, rempli dun autre que mon mari va envahir à son tour, en pénétrant sans effort, tout en douceur, sans bouger, unis. Mon ventre inondé, suce, aspire son membre, on se tend, on saccouple, on veut ce moment damour où le corps et lâme se rejoignent, nos corps souples immobiles enlacés, bouche contre bouche, on jouit. Jai limpression de déborder. Je pleure mon bonheur.
Là, cest JF qui a interrompu mon écriture !...
Je peux vous dire que ce visionnage fut interrompu et saccadé, mais à cet instant précis linterruption fut infiniment plus longue
Cela, point de caméra pour graver, ni de perverse pour écrire.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!